mercredi, février 28, 2018
La dolce vita
Pauvre Italie, pauvres de nous...
On aura beau dire, on peut être le mieux disposé, le plus accommodant, le plus tolérant, ça fait toujours drôle de voir une Africaine venir nous dire que les prochaines Anita Ekberg ressembleront à elle, qu'elle est là pour nous accompagner dans le changement de composition de notre population, nous faire admettre ce nouveau paradigme.
On notera au passage la malhonnêteté de la journaliste (pléonasme) qui rappelle la vendetta de cet Italien en omettant l'acte barbare qui a conduit à son geste : le dépeçage et le rituel vaudou qui font qu'à cette heure on cherche encore le cœur et le foie d'une jeune suppliciée mise au contact de l'enrichissante diversité.
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Quelle horreur, quelle arrogance et mordre allégrement la main qui l'a nourrie...
RépondreSupprimerC'est la conspiration Bilderberg en marche et dans ses plus beaux atours !
En même temps si les Italiens ne font plus d'enfants ce Bilderberg n'y est pour rien je présume.
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